Dikouenteni est un village de brousse, et à ce titre, il n’y a ni électricité, ni eau courante. Les habitants vivent donc au rythme du soleil, et s’en accommodent très bien. En revanche, les femmes, et les jeunes filles doivent aller au marigot pour aller chercher de l’eau, qui servira aussi bien à la toilette, à la lessive, ou à la cuisine. Le chemin jusqu’à la source est difficile. Il l’est d’autant plus qu’elles en reviennent avec une bassine de 10 litres sur la tête.
Ce blog a pour vocation de montrer l'évolution du projet pédagogique, mené dans les lycées Antoine Lavoisier et Viollet-le-Duc dans les Yvelines. Ce travail se fera en lien avec l'association D.E.P.A.R.T.S., qui met déjà en oeuvre des projets humanitaires. L'objectif est de sensibiliser les élèves aux difficultés rencontrées par la population de Dikouenteni, et de faire en sorte qu'ils s'impliquent dans un projet solidaire en récoltant des fonds pour la construction d'un puits au village.
samedi 3 mars 2012
La problématique
Jeanne, Cécile sur le dos
Marguerite, et sa calebasse pour remplir sa bassine
Rosine, 10 ans, doit elle aussi participer à la corvée
La remontée est difficile, les tongs en mauvais état sont laissées au sommet avant de descendre
Le chemin est ardu pour gravir le coteau
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